Quelle sensation de pouvoir m’étendre au soleil de l’été, de découvrir le monde qui m’entoure, de respirer le bon air pur et toi tu m’emprisonnes entre deux fils d’acier.
Ne te souviens donc tu pas, quand nous étions encore jeunes primitifs, toi maladroit sur tes deux jambes et moi liane sauvage me lovant autour des arbres et t’offrant en abondance mes fruits.
Comment en sommes-nous arrivés là ?
Pensées de Vitis Vinifera
juil13
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